Aujourd’hui, nous sortons d’une situation compliquée. Le beau temps aidant, certains ont saisis l’occasion pour faire des balades et prendre la vie du bon côté. D’autre se sont senti restreint dans leur liberté de mouvement et de vie sociale. ( les personnes âgées notamment ).
Ces quelques mois de restrictions aurons pourtant laissé des traces au niveau physique et psychologique. Si certains ont pu se réjouir en rêvant d’un virage vers un monde meilleur et plus écologique, d’autre ont souffert de la peur et du martèlement médiatique. Et cette peur ne disparait pas d’un coup de baguette magique. D’ailleurs, on peu encore voir par-ci, par-là, des personnes (en solo de tout âge) portant un masque en vélo ou jogging ou encore en promenade et même en voiture. (notez qu’il est préférable de respirer l’air frais (actuellement spécialement pur) au lieu de s’intoxiquer avec ses propres rejets de co2).
De toute manière, consciemment ou (et) inconsciemment, c’est gravé dans la mémoire individuelle et collective. Mais le chapitre n’est pas clos pour autant, puisqu’on nous dis que c’est une accalmie provisoire.
Et dans un autre chapitre, on nous annonce les conséquences économiques, avec la montée du chômage, la difficulté d’acheminement de certains produits, suite à la paralysie de l’économies.
En résumé, les perspectives ne sont pas à la fête. Et même si nous retrouvons peu à peu nos libertés, le souci du futur reste présent. Et, chose inédite à cette période de l’année, les paquets alimentaires distribués à Lausanne (et ailleurs) ainsi que le retour de la soupe populaire, sont bien là pour nous en faire prendre conscience, même si pour l’instant ça ne concerne que les plus démunis, les oubliés de la société.
Qu’on le veuille ou non, toute cette histoire finira bien par avoir un impact sur notre équilibre psychologique et ses retombés sur notre forme physique. Tout fini toujours par retomber sur le corps.
Notre corps agit comme un fusible de santé. Il est donc important d’avoir des activités qui nous procurent de la joie dans notre coeur pour que le corps puisse s’apaiser. Et de ne pas oublier le corps afin que la tête s’apaise elle aussi.